Intéressé par l’économie, j’ai intégré une classe préparatoire D2 après mon baccalauréat scientifique. Outre les disciplines enseignées, j’ai été séduit par le parcours prépa-université.
Je me rends compte aujourd’hui de l’importance qu’ont eu ces années sur mon avenir : au-delà du bagage de connaissances diversifiées que j’ai pu acquérir, c’est surtout une réelle capacité de travail et une véritable autonomie que j’ai acquises. Cette période est pour moi synonyme de développement personnel, d’entraide en prépa, d’exigence et de stimulation intellectuelle.
Après la CPGE, j’ai intégré l’ENS Paris-Saclay avant de poursuivre mes études en finance à Dauphine. Étant attiré par le monde de la recherche, mais aussi celui de l’entreprise, je me suis orienté vers une thèse CIFRE que j’effectue aujourd’hui au sein de Dauphine et du cabinet de conseil Accuracy. J’étudie les relations entre l’actionnariat et les politiques d’innovation des entreprises, tout en étant consultant dans le domaine financier. Cela me permet d’être confronté à des problématiques académiques, mais aussi très pratiques.
Pierre TRUPIN
Après le baccalauréat, je n’avais pas une idée précise de ce que je voulais continuer à faire, mais je savais que je voulais faire de l'économie. Le système prépa-université de la CPGE D2 m’intéressait et je n’ai pas été déçue. Le fait de devoir gérer la prépa et l’université m’a beaucoup apporté en termes de méthodologie, d’organisation, de rigueur et d’efficacité.
Après la prépa, j’ai intégré Dauphine où j’ai étudié l’économie appliquée en licence avant de me spécialiser en Finance d’Entreprise en Master. Après deux années de conseil en management de projets, je suis actuellement en charge de coordonner les projets et de garantir le contrôle interne des services financiers du siège de Pernod-Ricard. Avec le recul, je m’aperçois que tout ce qu’on apprend en prépa nous sert dans n’importe quel parcours d’études et encore ensuite dans le monde professionnel.
Margaux HÉBRARD
Après mon baccalauréat ES, j’ai suivi une classe préparatoire D2. Avec le recul, cette formation m’a permis d’acquérir en deux ans des bases solides en économie, en histoire et en mathématiques et en préparant le concours d’entrée à l’École normale supérieure, j’ai aussi pu acquérir des méthodes de travail, une réflexion et une maturité qui sont aujourd’hui nécessaires pour ma vie professionnelle.
J’ai ensuite intégré le Magistère d’économie de l’Université Paris 1 et obtenu le Master d’Analyse et Politique Économiques de la Paris School of Economics. Afin de mieux comprendre le comportement des agents économiques, j’ai choisi de me spécialiser en micro-économie et j’ai rédigé un mémoire sur les problèmes de coopération internationale entre États en matière fiscale.
Au cours de mes études en prépa et à l’université, j’ai progressivement acquis le goût pour la chose publique ; celui-ci m’a porté vers Bercy, à la Direction générale du Trésor, après un passage au ministère de la Santé et à la direction de la législation fiscale. La Direction générale du Trésor évalue et conçoit les politiques économiques de demain et dans ce cadre, je m’occupe plus particulièrement de l’évaluation des dépenses publiques locales.
Léo QUENNESSON
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