Bonjour à tous,
Je m’appelle Islam Ouandjeli et je suis élève en BTS NDRC (Négociation et Digitalisation de la Relation Client). J’habite à Épinay-sur-Seine et j’ai effectué mon stage à Dubaï.
J’ai choisi de faire mon stage à Dubaï parce que je souhaite travailler à l’international. À l’origine, je voulais suivre un BTS Commerce International, que j’avais obtenu, mais pas à l’ENC (École Nationale de Commerce). J’ai donc opté pour le BTS NDRC tout en réalisant mon stage à l’étranger. Je n’ai pas rencontré de grandes difficultés, car ma cousine est installée là-bas.
J’ai effectué mon stage dans une agence immobilière appelée HaazProperties.
Pendant mon stage, j’ai principalement réalisé des missions de prospection physique, car le travail sur le terrain est primordial. Je me rendais chez les promoteurs, discutais avec les clients qui venaient à l’agence, ainsi qu’avec d’autres agents. J’ai aussi réalisé de nombreuses brochures sur les projets et des études de marché. Grâce à ce stage, j’ai pu utiliser plusieurs outils que j’ai appris dans ma filière, tels que Word, le QQOQCP et la méthode AIDA.
Dubaï est un autre monde, où tout est gigantesque. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il est rare de croiser des Émiratis, car ils ne représentent qu’une petite partie de la population. La majorité est composée d’immigrés, principalement originaires d’Inde et du Pakistan, qui fournissent une grande partie de la main-d’œuvre.
Certains secteurs sont moins chers qu’en France, comme la restauration, alors qu’à l’inverse, le textile y est plus coûteux. La sécurité à Dubaï est exceptionnelle : j’ai perdu mon téléphone et en 10 minutes, on me l’a rendu. En France, cela aurait été impossible.
Cependant, la circulation est chaotique : il n’y a pas de ponts, donc pour traverser la rue, il faut parfois compter 20 minutes. En revanche, les Français sont bien perçus là-bas, même si je ne sais pas vraiment pourquoi.
Même si cela a été difficile de partir deux mois à l’étranger, sans famille ni amis, cette expérience a été l’une des meilleures de ma vie. Je n’hésiterais pas à la refaire. J’ai beaucoup appris sur un pays et une culture que je ne connaissais pas, sur le métier à l’étranger, et j’ai également amélioré mon anglais.
